Cette page a été validée par deux contributeurs.
ments s’exécutent facilement, sans augmentation ni ralentissement d’allure, que l’on a un cheval dans un équilibre de premier genre.
Comment assez admirer ici toute la beauté de ces nouveaux principes, qui, joignant à leur simplicité la puissance de leur action, rendent le cheval souple, élégant, et assurent sa durée. »
D’ESTIENNE.
Paris, le 20 mars 1864.