mâchoire, l’encolure et la croupe, principaux foyers de résistance ;
4° Moyens de remédier à ces inconvénients, par les assouplissements des deux extrémités et de tout le corps du cheval ;
5° Annulation des forces instinctives du cheval pour leur substituer les forces transmises par le cavalier, et donner de l’aisance et du brillant à l’animal le plus disgracieux ;
6° Égalité de sensibilité de bouche chez tous les chevaux ; adoption d’un genre de mors uniforme ;
7° Moyens d’habituer tous les chevaux à supporter également l’éperon ;
8° Tous les chevaux peuvent se ramener et acquérir la même légèreté ;
9° Moyen d’établir chez un cheval mal constitué un équilibre aussi facile que celui des plus belles organisations ;
10° Le cavalier donne la position, et le cheval exécute le mouvement ;
11° Des causes qui font que des chevaux non tarés ont souvent des allures défectueuses : moyens d’y remédier en quelques leçons ;
12° Changement de direction par de nouveaux effets de main et de jambes ;
13° Distinction entre le reculer et l’acculement ; de l’effet utile du premier dans l’éducation du cheval ; des inconvénients du second.