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Page:Baudelaire - L’Art romantique, Conard, 1925.djvu/334

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Mais il a été un grand poëte malgré lui, pour ainsi dire ; il a essayé de gâter par une idée fausse de la poésie de superbes facultés poétiques ; très-beureusement ces facultés étaient assez fortes pour résister même au poëte qui les voulait diminuer.