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Page:Baudelaire - Les Fleurs du mal, épreuves, 1857.djvu/253

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LES FLEURS DU MAL Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre [:] Le bon vent, la tempête et ses convulsions / [deleatur] Sur le sombre gouf[f]re Me bercent, et parfois le calme, – grand miroir Dc mon désespoir ! 175 /

Source gallica.bnf.fr / Bibiiotheque nationaie de France