Page:Baudelaire - Les Paradis artificiels, Conard, 1928.djvu/335

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Nous concluons que les vers en cause sont bien de Baudelaire, mais contemporains de sa dernière période, ce qui explique leur médiocrité, et qu’en raison du peu de succès que rencontraient les tentatives de réédition des Paradis, leur publication à la suite de cet ouvrage n’eut jamais à être sérieusement envisagée, ce qui peut expliquer aussi, tout au moins dans une certaine mesure, qu’il n’en soit question nulle part dans la correspondance de l’auteur.