I.ETTUES — 1837 10 1
■ (’pondais pas. J’ai trouvé votre ////// (alençoiiiiaises) >li, et eu effet fort adaptable à nu format anglais, dais il m’est impossible de deviner si votre neuf ferait mieux.
(Ajoutez à cela que je suis toujours préoccupé de l’horreur de la plaquette.)
Mais je puis vous dire quelque chose qui vous mettra bien à Taise, et pour toujours. Dans toute question de cette nature, comme vous vous y con- naissez infiniment mieux que moi, toutes les fois l’iilnUj aura pas de ma part répulsion radicale,
—[JIVEZ VOTRE GOUT.
Je m’imaginais que vous alliez arriver à Paris avec des placards représentant la moitié de Spleen et Idéal, et que naturellement vous les auriez rem- portés, corrigés. En tout cas, n’oubliez pas de rap- porter intégral le manuscrit des pièces sacrifiées.
Si vous pouvez dénicher, dans vos greniers ou armoires, un ou deux dictionnaires de rimes, ap- [M)rtez-les-moi. Je n’en ai jamais eu. Mais ce doit ire une chose excellente, dans le cas d’épreuves.
Bien à vous.
A POULRT-MALASSIS
Samedi, 7 Mars 1857.
Mon cher ami,
J’ai, là, une lettre de imn [joiir vous, datée du r" Mars, qui devait accompagner tous les placards, lesquels sont finis depuis le i’" Mars. Je vais profi-
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