reuses. Si jamais cette idée galope de nouveau dans vutre lèle, je verrai MM. Ouérard et Louandre, Louandre m’ayant promis de me mettre en relations avec un descendant (petit-fils ou petit-neveu) qui a des paquets de notes.
Je répète qu’il faut, dans ces aventures-là, se réserver beaucoup de marge, et préparer des prospectus très élastiques qui permettent de profiter des bonnes idées survenantes, et de se dédire souvent. Donc, vastes catégories. Quel jour verrons-nous M. de Broise ? Je désire le savoir. Je ne reçois rien de vous. Je vous le répète une dernière fois, je ne serais pas très-étonné que vous prissiez cette lettre fort mal, mais je me crois trop intéressé à votre réussite pour ne pas vous avertir. Supprimez votre catalogue.
Votre bien dévoué.
Et Les Incas, de Marmontel ? Vous les avez bliés, n’est-ce-pas ?
Et Le Temple de Gnide ? Et les Lettres persanes ?
Pensez donc au cas où votre catalogue tomberait entre les mains de Veuillot ou de d’Aurevillv.
Mon cher Malassis
Je vous demande un million de pardons d’appeler encore une fois votre attention sur la nécessité