Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/161

La bibliothèque libre.
Aller à la navigation Aller à la recherche
Cette page n’a pas encore été corrigée

LKITUES l858 167

Tout à vous, mes respects, je vous prie, à votre 1ère. Bonjour à de J3roise.

\J Arthur Gordon Pijm est au brochage, si tou- fois vous vous intéressez encore aux livres qui ’ sont pas à vous.

.rai eu, hier, à V Intérieur une conversation rela- ve aux deux cent soixante-dix exemplaires. Ça se csente mal. Je vous raconterai cela.

A MADAMK SABATIER

Dimanche, 2 Mai i858.

Voilà, ma chère amie, le petit livre dont je vous ais parlé et qui vous amusera, j’en suis sûr. Que vous avez été méchante de ne pas même

  • laisser le temps de vous remercier de toute la

ie que j’ai trouvée dimanche et hier auprès de

. ..II. ;< xLiiHiidiiiaire Madame Nieri a commis en L’ quittant un enfantillage digne d’une étrangère. vaut que j’eusse eu le temps de donner mon adresse au cocher, elle s’était avisée (\q^\q payer, et, comme je me fâchais, elle a dit : // est trop tard, ai fait ! — et puis, avec une vitesse aussi extra- ordinaire qu’elle, elle s’est élancée, elle et ses ’« ipes, dans le grand escalier de l’hôtel.

Tout à vous. — Je vous embrasse comme un /’S ancien camarade que j’aimerai toujours. (Le mot camarade est un mensonge ; il est trop vul- çraire, et il n’est pas assez tendre.)