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LUTTHES

S — iSog I 90

Et le portrait ?

Enfin fJ Opium est fini ; cela va paraître. Il est indispensable quenousfassions aussi une brochure : IJOpinm et le Haschisch, en sous-titre : IJÏdéal artificiel, brochure composée de cinq feuilles de la Revue contemporaine, presque un livre. Nous som- mes sûrs de la vente d’une pareille brochure, et de plus nous déchargeons d’autant les malheureuses Curiosités, qui se trouveront ainsi composées géné- ralementd’articles ayant trait aux beaux-arts, eiqui n’attendent plus pour être réimprimés que Tappa- rition du Salon de i85q (fini, et que je livre ce soir ou demain), des Peintres espagnols et des Pein- frrs idéalistes que je ferai en Mai.

le serai heureux d’avoir votre opinion sur le Gau- tier. Rappelez-vous qu’il y a des fautes dans L’Ar- tiste, et qu’il faut que je lise les épreuves une seule fois (àHonfleur) : si vous faisiez cela tout de suite, je vous les corrigerais en une heure. Je vais avoir

peu de loisir.

l’ai lu, à Paris, des lettres de vous, où il y avait ..<. découragement. Si vous vous découragez, alors vous courrez de vrais dangers. Je ne veux pas que

is perdiez la tête pour si peu, et rappelez-vous que ce n’est pas seulement l’égoïsme qui parle, mais l’amitié. 11 y a eu quelques instants où votre situation était très belle. Cela peut se retrouver, et

ilement.

ignorequand j’aurai le plaisird’aller t\ Alcnçon. i coDcudant de grandes nouvelles et de grands