Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/219

La bibliothèque libre.
Aller à la navigation Aller à la recherche
Cette page n’a pas encore été corrigée

f.EilUKS — i^uy 2l5

II s’ag^it, maintenant, de retrouver une lettre de \ ictor Hug-o, adressée par moi aux bureaux de //Artiste, et que ees voleurs-là n’ont pas envoyée k

iifleur. Votre lettre est aussi injuste que mal- honnête. Je pense sans cesse à vous, et vos 3.ooo fr. m’empêchent de dormir. Vos l\oo fr. arriveront à temps. — Je vous écrirai plus longuement^ quand

lirai des certitudes certaines.

Delacroix n’est pas à Paris. II m’avait donné . -iidez-vous pour un dimanche ; je n’ai pas pu y aller, et il est reparti le lundi. Vous aurez votre

ssin, et un beau.

A POULET-MALASSIS

… Pendant queje me félicitais de voir lentement ^.i ogresser les quatre volumes que je veux vous livrer, j’apprends votre nouveau malheur. Quand,

comment cela finira-t-il ?

Tout à vous. Ecrives-moi vite.

Querelle avec Michel Lévy, à propos d’ Eurêka, le je traduis en entier, et que je voulais vous iiner. Je vous supplie de faire du Gauficr quel- e chose de propre.

A IMM 1,1’, l-.>l.\i,A.>MS

nj Sepleijibiu iSIjq. … Pas encore de conclusion de la paît d’IIos »