Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/1128

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

5*4 Sif'd fait endurcr, é souffrír S’endurcir dans toute sorte d’i venemcns contraires : /, w t " diſoit-il , que je Jhìs hommc , ^ conſequent ſenfiblc a U douleur. ï4U. rois donc mauvúſe grace de m en allcr chenher volontairement les afflictms les maladies , & U mort mefme.Auíji nen ſuis-je pas d’avis. Maìs il efibien vray que fi elles nidttaquoiet,é‘ s'ilnìcn falloitpafſerpar la yjetacherois en tel as de my refiudrcidr de ne nen faire d'tffe~ miné. Çaraprés tout, c esi lafcheté que à Coubâtte les tourmens ; comme au contu- re,cefiune choſe lomble que de les enitt- rer courageuſement. Je pafle maintenant a la Conti- nence, qui est le ſecond point que je me íuis propoſé de traiter dans cét 'Emblême. L’étenduë en eſt fi vaste , que toutes les bellcs qua- îitez de l’Atne íont de fa juriſdi- ction : c’est d’où vient^que dans Lactance il y a crois difterents de- drcz de Vertus ; dont le prcmicr |st de s’abstenir des mauyaifes ae-