Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/130

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djt fjjirit líH P ftflCét ^\t, > -cova srenereuscmeM à Gkopatrpv- £t encore le grand Augufte, qui' durant qu’il étoit en EfagM , avant ni* à un milliort de ſefter- ces la tefte de Corocottà , pouì le faire punit de les vollerics, luy pardonna ſcs crimes depuis , par- ce qu’il ſe vint rendfe a luy vch lontairemcnt , & luy frt donnef de plus la ſomme qu’il avoit pro-* mife à ceux qui le pourroieríc prciidre , à cauſe, dit-il, que Co- rocotta avoit amené Gorocottai A tous ces exemplcs, que Lipfc - deduit au long, j’en pourrois join- dre quantité-d’auttes : mais je me concenteray de eelûy de Loíiís XIL Roy de France.’LHistoirè raporte- que Chatles VIII. dont la Courorw ne luy devoit estre hereditaire , a* raute d’enfans, le traittoitíì mal qu il etoit en danger de ſa vie, ſans’ avou aucun ſupport des Grands' i.\t’\tqui\tfuivoient\ttous- P.affion de leur máistre. Charlest L iij