Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/159

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&e lA Concordc v I me n avoit aucunes murailU \1 ne fit point d’autre réponſe ſ'y que leur montranten mesinc^M1 ſes Cicoyens, qui étoient en\A\ ne intelligence s &: f0rt bien \ mez. Voìla , leur dit-il, les les remparts de Lacedenme. En eftç \ il avoit raifon de parler ainsi, çM comme on n’épargne ny ſ0ìa ì argent , pour fortifier de fofſés'11 de murailles, &c de bastìom ^1 ville d’importance, pour la defen. I dre des afíauts &: des ravages ^1 l’Ennemi i ( quoy que neanctnoins 1 ccs fortiíications ne ſervent de rien I fi les Bourgeois ne ſont bien d’acì'l cord ) on peut dire de meſme ^ quelques grandes que ſoient les forces des Grands d’un Royaunw,, pour cstre oppoſécs à U puiffance de ceux qui l’attaquent, elles fe trouvcnt foibles en6n , ſi la Diſ. corde s’y meílc. Tite-Live & Ve- gece en donnent une forte bonne raifon , quand ils diſent qu’ayant