Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/376

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Qu’il faut toujours bien eſperer. 371 ſe ‘frverité dont ton viſige fi cou'ure. ïeut ce/a ne ni est qttunc petite me , me je ne dois nullen.ent apprehcnàer, arts avoir mdlgré les vents & les va- Les, conduit d bon port le navire de U Rtfublique. Et en un autrc en- droit il adjoute. Si ìe me voyoìs ſans mvernaìl dans ce Vaiſeau de TFtat > ji U tempefie des diviſons de des mrris civiles me jettoit enpleine nter, lì des Pyrates s’en venoient de toutes wts me donner la cbajſe , & s ils é- uientſur le point de me faire eſclave ; tncore ne ſçay-ìt pas fi ma reſolutìon ne Jêroitpoint ajfizforte, pour s’oppe- Jêt t leur violence. Je passé maintenanc à ce que les Poëtes ont feint à ce propos de Castor & de Pollux , tous deux freres d’Helene , & fils de Jupi- ter & de Led'a. Les Pilottes les adoroient anciennement, & les in- vocquôient durant la tenipeste , pour memoire.de ce qu’ils avoient autresfois purgé la mer de Pyra-