Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/491

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  • 4 "De tFnvte, & de fès tffct

pdties continuelles & les doûlCUlé qu elle ſbnfttc , la font mmJ jnillc ìois le jour, îvíâis D*y 1 il Pas de l’ir jastice à la plaindtç' & ne devroit-on pas ■ plûtost luù ſouhaitter , s’il étoic poffible, des fnaux plus grands que les siens s’il est vray , commc il n’en faut pas douter , qu’elle ſe donne la geſne a foy-mcírne, & quelesſup. plices ſoient volontaires 5 Ouyon le devroit, afin de purger pour une fois la terre de ce monstre. Le malhenr est, qu il ne s’est point trouvé juſques icy d’Hercule qui Fait pû faire ; &: je ne penſe pas qu’il s’en puisté non plus trouverà l’avcnir. II n’est point d’imperfec- tion plus vieille que celle*.cy , ny qui dût plutostfinir, veulestoui- mens qu’elle foustre. Elle ne peut mourir toutcsfois -• & il est de les fuppliccs comme de ceux de Pro- methée, qui par un privilege qu il voudroit- bien n’avoir pas , ne l’aſ-