1 \ ryetdâmtmíìrâûon deh IuSîìchÀ '< 11 /*rt f íYOl’íi" — - ìPt-c rir* ’ / L çhcrs de ſes gardes , expia la
\t^\tT\t*
lence qu’il avoit faire à vmc jHv a * V104 pau. í vrc filie. Celuy d’Alpkonse R0 d’Eſpagne, qui s'en allâ depuisfo. fcde juſqu’aux dernicrs confinsdê Galiee , pour chastier la rebcllioa d’un Gentilhomme , qui refusoit de rendre le bien qu’il avoit pri$ \ un Paiſan, à la porte duquel il lc fic pendre. Ec pareillement celuy de Baudoin feptiéme Comte de Flandres, qui étrangla luy.meſrae onze Cavaliers , qui avoient volé ſur un grand chemin , & mis à mort trois Marchands ; acte loua- ble , dit Lypſc , mais qui ſede- voit faire par d’autres mains, que p.ar celles d’un Prince. Or d’autant qu’on ne ſcauroit jamais bien rendre la luílice, ſi l’on s’attache aux perſonnes, & aux considcrations huraaines, ilestne- ccíſaire de ſe dépouiller de toutes les affections qui la peuvent cor- rompro. Pluiìcurs grands hommes ï £( des