Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/592

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ke diré , que to®0» cau coulantc on n'en a pas davamagc que ce qu’on en veut puiieí -, vnu n’avous-nous du T3^ autàht que iioUs en pùvons ëitiployer utilement. On ne sçanroìt sen j/Uin- dre qu'a tott, dit le grand Saint Hievôme. Cefifolìe d’dlegtter que le Temps de nos peres étoìt meilleur que le nostre. Ce [ont les Vemseqmleſont bon, & les vicès qui le fvnt màuvúis. C’est de toutes les- choſes , celler dont les hommes ont le plus be- ſoin, & dont ils ſont plus prodi- gues » Les Lácedemomens ne a a** moins étoient ſi chiches, qu’ayanc appris, dit Plutarque, que les ſol- dats^ d’une garniſon le paíſoient ìnutilement à ſe pourmener , les ■ . Ephores lesfirent vemr-expres, Sc leur commanderent qui T'aveniì:- i s euffent à le mieux employcr Ur i™ àc punitjon. Les maxi- ’V ° af§vî.eïre > & l’expenence? qu i s en faiſojent tous les ]ours