32.$ C)ue U cletnenct fiit tst'mtr I înence des Princes. Car cc íaereux Animal en est:. un Gm®‘" le dans. la plufpart des AutheUrs' comme le Chien en est un aUttJ «le bien-veiliance òc de bon natu, I lel. Par. ou. il est donné a connoù I îre » Qu’il ftut pardonner ^ \ pas ſeulement aux ennemis mle, 1 l’on a vaincus, mais encore aux Amis,s’il arriv.e fortuitement qu’il^ I íe licentient à quelque choſe qu^ nous déplaiſe. Auísi est-ce le pru. I prc d’un grand. courage ,. d’esti- ?ner petices la plufpart des offen.., ces qui luy ſont raites, &; de ne s’en ■vangcr point , quand ii en a le jnoyen. À. cecy ſe rapportcnc ces bcllcs paroles de Salomon , la Mifericordc &• la Veritê ſont les fard.es du Roy , & que U clmm ce fortife [on Throſnc. En effet, ſoit que l’homme ſe faflè eonſiderer , ou par ſa naiíſance , ou.pat faFor- tune , toutes les conqueftes & ſes victoires ne le fetont j^mais L\t*\t*\t* *\tk
