Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/960

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Î46 Jj>nìlfaut ohù'raux Z»!x. les y pouiïe par ſoa exetnple. ça{l nous pouv.ons difficilement reduí re les autres à faire les choCesn^ nous avons ordonnées, si nous tncſ. mes auparavant ne leur en mon. trons le chemin. Auflin’est-ccpas .le nombre des Loix qui fait ptoſ, perer un Etat , mais bien le íbia Ique le Prince témoigne avoir de 1 les obíerver ponctucllemenr W, meſme. Heureuſe eft la Republi., que , disoit Platon , en laqueWc .cbacun obe'it au Roy , & le ^ à la Loy comme faisoient ancien- neraent Lycurgus, Zeleucus, A^. I .filaus , Theopompus, Agis, The- ' "mistocles , Augufte Alexandte, & plufieurs autres grands Princes. í Vxnerience ordinaire leur appte- noit cette verité , que les Lo« ſont l’Ame de l’Etat , qu’iln’y» fien que l’on doivc plus religieu- sementreſpeaer,^ quilnestpas possible que les peuplcs , ny les au. í r es choſes du rnonde ſubfvstenc sens