Guldens buyten hondert wyfrig Caroli Guldens weyens immuniteyt. Resolutie 29 maart 1684.
Accordeert met hot voorrz register gemaakt en berustende onder my ondergeschreve.
Les éditeurs de 1740 n’auront peut-être supprimé cette remarque insignifiante, que parce qu’ils avaient à ajouter un peu plus loin une remarque qui porte le signe F (Voyez t. XVI, p. 83), trouvant dans cette suppression le moyen de faire l’addition sans changer les lettres des remarques suivantes.
Cette édition, qui porte l’adresse de Basle, est en 4 volumes in-folio. Elle est mal exécutée.
Cette édition se publiait à Leipzig, chez P. Phil. Wolf, dans le format in-8o. ; il n’en a paru que huit parties, de 1801 à 1804. La huitième finit avec l’article Hoornbeck.
Les éditeurs ont fait un très-grand travail, ils ont relevé minutieusement les moindres variantes ; ils ont indiqué les additions successives ; ils ont eu (les premiers, je crois,) l’idée dont j’ai profité, et le soin de noter les faux renvois de Bayle, c’est-à-dire les articles auxquels il renvoyait, et qu’il n’a pas donnés. Cette dernière partie de leur travail était très-difficile, et laisse quelque chose à désirer ; ils ont ajouté de temps à autre quelques notes dont on peut contester la justesse ; ainsi dans leur tome IV, page 155, sur ce que Bayle avait dit septante mille, ils ont mis en note : Il faut soixante-dix. Il y avait dans les Œuvres diverses de Bayle[1], le premier chapitre et le commencement du second d’un Discours historique sur la vie de Gustave-
- ↑ Puisque j’ai occasion de parler des Œuvres diverses de Bayle, j’en profiterai pour remarquer que l’édition de 1727 est préférée à la réimpression de 1737 ; je ne sais si cette préférence est bien raisonnée : je n’ai point lu cette dernière, et il peut se faire qu’elle soit moins correcte que la première ; mais cela n’est que douteux jusqu’à vérification ; ce qui est certain, c’est qu’elle contient, de plus que 1727, cent cinquante lettres. Il paraît que ces cent cinquante lettres nouvelles n’ont été découvertes qu’après l’impression ; car, au lieu d’être placées, chacune à sa place, elles forment un cahier de cent douze pages in-folio, destiné à grossir le premier volume. L’édition de 1737 a dû être faite en France (à Trévoux). La préface de ces cent cinquante lettres est d’un catholique ; aussi quelques mots ont été changés dans la réimpression qui en fut faite en Hollande par des protestans, 1739, 2 vol. in-12.