petite AlterAtion des ûrconjf4nces po « , en p » rler. 0,.·
a b’A"COUP plus_de rAifon de trou’Ver étrçJnge, que le
Diihonaire. de lt10reri n, e diferien tI~ittfl, ou de 1..
. gagûre de ces deux Peintres, & que Jdr$~ Lloyd &
Hofman n’en Ilifem qu’un pet ; tmo,. ; Pouri, qui Te ! Arde ·l’autre table.tu où un ga’Tf’. porr, it des rA ; fins,
Mr. Morer ; en a parlé d’une maniere qui n,
lu] fouToit faire.d honneur, puis quil en tt retran, bi
les p.rincipales circonftances, n’AJa", Tien dit du jugement
que Zeuxis portot. lUJ-meme de ~e tAbleau.
MY. Hofmmn’a paloublié ccla, ~~s îlieIl feni
d’une phr, , ! e qu’il devoit ent ; erement [uprimer ;
eadem ingeoUltate, dit-il, procef1it (Zeux ; s)
iratus operi ac dixit. Ces pa~oles font de Pline’— &
font un très bel effet dans f OriginAL, où elles ont relation
àl’! ûftoire de III gagûre, Cell.~· dire au narré
de Pline, touch.â~t l’ingenuité 4ve, Lzquelle Zeuxis
avoü.z qu ïlétoit vaint:u. Mais lors que dAns· un art ;.
,
.
.,
de où ilnj a rien de celte ingenu ; tÎ, on nous vient’
aprendre que Zeux ; s Teconut avec l# mêm’C. ingenuité ; 1. ~tn e !,
.
r’
peu vOIr·
&c. 011 nous jette dans des tenebres; ~l~netrab, es, des exem..
,
où nous pouvons feuleme1lt conjeét#Ter q~’J’on nous fcle~ dans
1
aon1fe.f,.me. piece toute tronquée. p’({qUtrtous les.Ab— Me h’G
re
de
. ~~ breviateurs font [ ! ljets a ce defJut’e, Mr.HofmJn eIl novius
- 9 be.&ucoup plus c.’%
- cufable que My. LIÔJd, CJr quand Je perme; ,
- ce dermer a retenu la phrajè, eadern ingenuitate pro— 1~J4
CelFt, qu’il.trouvo ; t dans CbarlrJ EtIenne, il lu} ~du~~n. ’: étoit Aifé de fent ;, que cbarles Edenne LA, raportoit à de la ~e :, une clJ~Jè ! Àqu~, il ren~OJoit [on ktfe~r~., ~r. LloJd l~~ ;.dea —, A [uprune ce TenvO},. ~ par ce’~, , ~n Il f’tnts flus de 168+. ’~. fenebret dans [on arucle. Ce n ~iI pas,’lue Je pTe— mois de
- ’.Iende excttfer entierement Ch~rleJ Etienne,’A’[on Mai, Art.
’:’ ’-.~"’ut6. ..,