remis en liberté, et qu’on lui fournira les moyens de transport pour passer à l’étranger.
Agréez, je vous prie, madame, mes salutations respectueuses.
de l’armée des côtes de l’Océan,
M. de Tharon était un des émigrés de l’armée de Scépeaux, qui, au moment de passer en Angleterre, avait été arrêté à Nantes, et pour lequel madame de Turpin réclamait le bénéfice des arrêtés du général en chef.
N° 7.
Je consens volontiers, madame, à ce que M. Maklot, au lieu d’aller en Suisse, se rende en Angleterre, où, sans doute, d’après ce que vous me faites l’honneur de me dire, il trouvera plus de ressources. Je vous invite en conséquence à le faire partir pour Rennes, et à l’adresser au général Hédouville, qui y commande, et qui trouvera les moyens de le faire embarquer pour Saint-Malo.