Page:Beauclair - La Ferme à Goron, 1888.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

elle était entrée. Le notaire avait raison. Cette fois, elle était décidée à suivre ses conseils. Mais en rentrant chez elle, Mme Goron n’avait pas voulu tout apprendre à Cyrille. S’attendant à des objections, elle aimait mieux, après lui avoir appris le coup dont les frappait l’usurier de Caudebec, lui laisser le temps de s’avouer qu’il ne pouvait, lui, trouver à ce mal aucun remède.

Et elle insistait en disant :

— Si ça ne te plaît pas, hé bien ! toi, cherche donc autre chose !