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Page:Beauclair - La Ferme à Goron, 1888.djvu/94

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IX



Comme elle revenait de Caudebec où elle était allée porter au prêteur l’intérêt des hypothèques prises sur la ferme, Mme Goron, pâle et nerveuse entra dans la cuisine où Cyrille, entre le domestique et l’homme de journée, prenait sa collation. Il attendait sa femme à la nuit tombante seulement et croyant n’avoir pas à craindre d’être surpris, s’était payé la fantaisie de régaler la maisonnée d’un extra.