Aller au contenu

Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

7» LES DEUX AMIS.

��ACTE IV.

SCEîsE PREMIERE.

ANDRÉ.

« Lmbécille! benêt! Fais par-ci, va-t'en là. Qu'on <i feinie ma porte ponr tnnt le monde. Laisse entrer « monsieur S.iint- AUian ». Mille ordres à Ih fois! Comme si on étoit un sorcitr pour retenir tout ca.... ! Piirceiju'ils sont en querelle, il f.iut qu'un pauvre domesiiqiie... Euh! que je voudrois bien...! .le vou- drois que chacun ne fût pas plus ésjaax Tan que l'autre. I es maîtres s<rient hien attrapés,..! Oui! ot mes gages , qui est-ce qui me les paieroit .

SCENE II. •

SAINT-ALBAN, ANDRÉ.

SAINT-AI-BAM.

Monsieur Anrelly esi-il an logis, André.* A :» D E É.

Non, monsieur, pour personne ; mais ce n'est pas pour monsieur que je dis ca : il faut que vous en- triez , vons. Il va descendre 5 monsieur veut-il qu«  je l'aille avertir?

�� �