Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/142

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AURELLY

Des effets qui se négocient d’un moment à l’autre?

SAINT-ALBAN.

Depuis six jours, celui à qui vous m’adressez n’en a négocié aucun.

AURELLY.

Qui dit cela ? J’ai i-ecu de lui , ce matin , six cent mille francs échangés cette semaine.

SAINT-ALBAN.

De Préfort ?

AURELLY.

Mon paiement ne roule pas sur antre chose.

SAINT-ALBAN.

Le courrier d’aujourd’hui m’apprend qu’il est mort.

AURELLY.

Quelle histoire ?

SAIN T-ALB A W.

On n’a pas dû me tromper.... Mais n’avez -vous pas vos lettres.’*...

AURELLY.

Je les attends. ( il suuuc. )


SCENE VIII.


SAINT-ALBAN , AURELLY, PAULINE, ANDRÉ.

AURELLY, à André.

Qu’on appelle Dabins , et (ju’il vienne au plutôt. (.1 Saiiil-Alban. ) C’est nuin homme de ruuliance et mon caissier ; il nous mettra d’accord... ( Audré sort)