ACTE V, SCENE XI. ii3
SAINT-ALBAW.
Auielly, lendez-moi votre mandat , je {lars ; so\ez iranqnille. Vos effets de Paris nie seront remis Mrninptenient , ou Je supjilée à tout. AO R E r.L Y.
De vos biens?
SAINT-ALBAîf.
Puissent -ils être toujours aussi licureuseiuent employés! Vous m'avez appris ooiuiiie ou jouit de ^es sacrifices. En vain je vous admire, si loire exemple ne lu'éleve pas jusqu'à l'honneur de riini- ter. — Nous compterons à mou retour. ( chacun ex- rrimc son admiration^)
A tr R E L L Y, transpoi le.
Monsieur... je me sens digne d'accepter ce ser- vice ; car, à votre place, j'en aurois lait autant. Pressez donc votre retour; venez marier ces jeunes f,'ens que vous comblez de bienfaits.
MÉlAC PERE.
Pourquoi retarder leur bonheur. Unissons-les ce soir mèuie. Eh! quelle joie, mes amis, de penser qu'un jour aussi orageux pour le bonheur n'a pas été tout-à-fait perdu pour la vertu ]
��F I N ■ D E s DEUX AMIS.
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