ao2 EUGÉNIE.
I, E B ARON.
Véritable ? Eh bien ! ma sœur ?
MADAME MURER.
Il VOUS ment.
DRI NK.
Je ne mens pas , monsieur.
LE BARON, avec violence. Tu ne mens pas, misérable?
D R I N K, a part. Allons, tout est découvert; quelqn'autre lettre .sera venue.
LE B AROW.
Raconte-moi le fait : je veux l'entendre mot à mot tle ta bouche.
DRIN K.
Monsieur... puisque vous le savez aussi bien que moi...
LE BARON.
Traître !
MADAME MURER, retenant le Baron.
Mon frère!
LE BARON.
Qu'il laisse son verbiage, et qu'il avoue. DRlNR, cberrhant e'. tirant une lellre de sa |ioche. Puisqu'il n'y a pins moyen de dissimuler... Voicï une lettre de M. Williams, l'iutendaut de Milord. LE B A R o N , lui arrachant la lettre. Pour qui."*
D R 1 N K.
Elle est adressée à Madame.
MADAME MURER.
A moi? D'où me vieut cette préférence? et quel rapport cet iiitenilant...
D RiN K , surjnis.
Comment , quel rapport ? C'est le même qui a fait le mariage...
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