Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/257

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ACTE IV, SCENE XV. 221

LE BARON.

Par quel bonheur es-tu chez moi à celte heure.

SIR CHARLES.

Chez vous? Et quel est doue cet appartemeul .•' (Montrant celui où il a vu entrer le Comte. )

LE BARON.

C'est celui de ta sœur.

SIR CHARLES, nvec un iiiOLivenipnt terrible. Ah, grands dieux! quelle indignité !

SCENE XVI. MADAME MURER, LE BARON, SIR CHARi.ES ,

LES GENS.

MADAME MURER , accourant au Lruif, et s'écriant (réfonnenient. I Sir Charl.s...! C'est le ciel qui nous l'envoie. SIR CHARLES, au désespoir. Affreux événemeut ! J e n'ai que le choix d'être ingrat ou déshonoré.

MADAME M l" R E R.

Il va sortir.

SIR CH A RLES, troub'é.

iM.isœurl mon libérateur! Je suis épouvanté de

  • ina situation.

1|1 A D A M E M D R E R.

Osez-vous balancer.*"

SIR CH A R LH s, les dents serrées. Balancer...? Non, je suis décidé.

MADAME MURER, aux valet*. Approchez tous.

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