la LES DEUX AMIS.
SCENE V.
MELAC Fits, MELAC peke.
M É T< A. C r E R K , jouant retomié. Tout seul , mon fils ! Il me sembloit avoir enten- du de la musique.
IVT É L A c F I I, s.
C'étoit Pauline , nion père ; elle est allée s'ha- biller.
MELAC PERE.
Riais vous, Mélaç, voys n'c,tf,s pas décemment : ces cheveux...
M r I. A r F 1 1, s. Elle étoit en peignoir elle-nième.
MÉlAC PERE.
Cetfe aimable couliance de l'innocence n'autorise point à Ini manquer.
MÉLAC FILS,
j\î()i , lui manquer, mon père !
MÉLAC PERE.
Oui, mon lils, c'est lui manquer que de vous raon'rer à ses yeux dans ce désorare. Parcequ'elle ignore le danger, ou vous estime assez, pour n'en point <;raindre avec vous ; est-ce une raison d'ou- blier ce que vous devez à son sexe , à son âge , à son état ?
M EL AC F ILS.
Je ne vais point chez elle ainsi . Ce sallon nous est couni'un, nous y avons toujours étudié le matin.... Qiruid on demeure ensemble.... iMais , mon père , jusqu'à présent , vous ne m'avez nen dit... Est-ce monsieur Aurelly qui fait cette remarque ?
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