Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/64

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a8 ACTE I, SCE^TE XI Y.

AT R EL LT.

Saint-Allian?

ANDRÉ.

Monsieur de la Fleur la laissé à la dernière poste.

PAUI, ! N E , avrc bunipiir. Quand nous l'aurions appris deux minutes plus tard ?

A U R E I, I, Y , à PauliQC. Quel dommage que le concert soit dérangé ! Tu voulois des juges : eu voici un que lu ne réctiserois pas... Il repasse bientôt .' Qu'on fasse ralraichir sou courrier.

A >■ D R É . Bon ! il n'a fait qu'un saut dans rofàce. Pour un valet de chambre , on ne dira pas qu'il est lier, lui. A u R E I, L ï. Suis-moi.

A N DR É.

Quel appartement faut-il disposer?

AU RE L I,T.

Suis-iuoi , te dis-je ; je vais donner des ordres,

SCENE XV.

PAULINE, avec chagrin.

Saint-Alban...! C'est son amour qui le ramené..,. J'ai le cœur serré. (>lle soujiire. ) La persécution de celui-ci , la jalousie qu'elle donne à Mclac , et sur- tout la uécessité de cacher sous un air libre un sen- timeut que je ne puis domtcr... En vérité, mon état devient plus pénible de jour en jour.

FIN DU PREMIER ACTE.

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