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Page:Beauvau - Souvenirs, éd. Standish, 1872.djvu/11

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Les papiers de madame la maréchale de Beauvau furent laissés par madame la princesse de Poix à madame Standish, née Noailles, sa petite-fille. Elle les mit en ordre, y ajouta quelques lettres appartenant à la bibliothèque du château de Mouchy, et accompagna le tout d’une introduction et de notes.

Les enfants de madame Standish, pour exécuter la volonté de celle qu’ils ont perdue et pour rendre hommage à sa mémoire, offrent aujourd’hui au public l’œuvre que la mort a laissée inachevée entre leurs mains.