Voilà une rare aventure littéraire, sinon seule : le transport, avec sa fleur ou nul déchet, que subit intact un Livre, d’une littérature à une autre.
Traduction, pas cet ordinaire moyen ; mais publication directe du texte même.
Alors l’ouvrage avait été, quoique dû à un somptueux entre les prosateurs anglais, écrit, originairement, par lui en français ?
Certes !
L’Angleterre, chez qui il se classe en tant que d’élite (ou standard), n’en possède et ne gardera qu’une version anonyme.
Tout cela, sûr un peu, l’était sans qu’on insistât ; quand un exemplaire de l’édition primitive, laquelle voulut jusqu’à se faire à Paris, du reste à l’approche du typhon révolutionnaire, abîmée et dispersée, m’advint, après recherches. Le calquer page à page,