Page:Beraldi - Cent ans aux Pyrénées, tome 6.djvu/24

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

s

i :nt ans

II

PLANS EN RELIEF.

Pour remplacer le tableau du Canigou, coupé dans la revue de Labrouche et Bartoli, un autre tableau, imprévu : Paris, le Champ de Mars, l’Exposition universelle de 1889, la tour Eiffel, sur laquelle quelques grands guides pyrénéens sont pris de vertige, et dans l’exposition du Club Alpin : les Py)-mêes vues du Phi te* te de Schrader, le Mont Perdu de Rocheblave, la Cascade (T Arrosas de Vallol, tous dessins de premier intérêt.

Puis un objet curieux : le Relief rhf pic d’Ossau de Bayssellance*

Et un antre infiniment curieux, le Relief (h* Mot>f P^rdtt et régions adjacentes, par Schrader (aujourd’hui déposé au Club Alpin), qui est comme la divulgation et la vulgarisation du grand secret pyrénéen.

Et si nous revenons aux Pyrénées : dans la mairie de Cauterets le superbe Relief des Haute s- Pyrénées au cinq millième, par Wallon ; le quadrilatère compris entre Sainte-Marie de Campan et le col de Tories, Bielsa et Santa-Elena de la Thena,

Et à Toulouse le grand plan en relief de l’ensemble des Pyrénées, par De comble.

Tout ceci, continuation brillante du centenaire de Hamond.

Mais il y a autre chose.

En septembre 1889, Bayssellance, Blaquière, Peyredoulle avec Pujo, s’offrent la belle excursion Gavarnie, Tuquerouye, pic du Marboré, descente dans Arrasas, Torla, Broto, col de Brazato, bains de Panticosa, port du Marcadau, pont