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Page:Berchoux - La Gastronomie, 1819.djvu/189

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FUGITIVES.

Que vous me trouviez de talents !
Tous mes refrains étaient charmants ;
Ils disaient toujours : Je vous aime
Qu’ajouterai— je cependant
Dans ces jours de trouble et d’orage ?
Hélas ! il n’est plus ce bel âge
Où l’on pouvait paisiblement
Aux beaux arts destiner sa vie ;
Où les grâces, la volupté,
S*^^iriaient aux fruits du génie ;
Où la tlivine poésie
Se consacrait à la beauté
Il est vrai qu’il nous reste encore
Un grand nombre de beaux esprits
Qui sont bien sûrs, dans leurs écrits,
Que la France touche à l’aurore
De jours infiniment sereins.
Il est yrai qu’en cette occurrence —,