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— Où donc ?
— Cette maison… là… à gauche.
— Comment !… là ?
— Oui.
— Cette masure ?
— Mais, ma chère Louise, pour le pays, c’est un trésor de propreté et de confortable.
— Il est superbe, votre trésor !
— Je suis désolé, ma pauvre enfant… si vous saviez…
— Essayons d’y pénétrer.
— Un peu de courage, ma petite Parisienne.
L’escalier est étroit.
— Guidez-moi, mon cher ami.
M. de Lestenac s’élança dans l’escalier, tandis que sa femme faisait les plus jolies mines en franchissant le perron.
— Y êtes-vous, Louise ?
— Je vous suis.
— Prenez garde au premier tournant.
— Merci. Anna, relevez ma robe, je vous prie.
M. de Lestenac écouta, stupéfait.
— Anna ? répéta-t-il, qui donc Anna ?
— Eh ! ma femme de chambre.