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Page:Berenger - Les Filles du colonel.djvu/241

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Lorsqu’on apprit à Vienne que la famille de Clarande allait habiter Paris, madame Apolline de Poitevy, qui devait également y fixer sa résidence, en éprouva un certain dépit. La beauté rayonnante de Judith apparut comme une menace à ses conjugales appréhensions.

— Pourvu que nous ne la rencontrions pas ! se dit-elle avec inquiétude.

M. Ernest Samson serra les mains du juge Belormel, qui lui apportait cette nouvelle.

— À Paris ! répéta-t-il, à Paris !… Dieu soit loué ! je saurai bien l’y retrouver.

FIN DES FILLES DU COLONEL.

PARIS TYPOGRAPHIE E. PLON ET Cie, RUE GARANCIÈRE, 8.