Page:Bergerat - Contes de Caliban, 1909.djvu/310

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— Et il le sait ?

— Je le crois.

— C’est donc un lâche ?

Deux coups de feu répondent, de la grotte, à la question et à l’injure. Irène et Jacques s’y précipitent, épouvantés.

— Léon… mon Dieu !…

Rainville vient de se brûler la cervelle, et du bras déployé, au bout de la main, entre le pouce et l’index, il tend l’alliance ouverte : « Léon-Irène, 12 avril 1900 », la vraie.