Page:Bergerat - Le Maître d’école, 1870.djvu/16

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



XXIX

Aujourd’hui, c’est mon tour, et je ne m’en plains pas.
J’ai trop vécu d’un mois sur terre. — Je suis las,
Et mon malheur n’est pas l’excuse que j’allègue.
Hâtez-vous, car je crains de douter de mon Dieu ! —
— Donc, en joue ! — À jamais vive la France ! — Feu !
— Et quant à mon enfant, Messieurs, je vous le lègue ! —