Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/10

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sonne dans la recherche du trésor de la vérité, d’abord parce qu’il n’y a pas de trésor de la vérité, et ensuite, parce que la langue que parlent ces fantômes n’est déjà plus entendue par les nouveaux coureurs de torches.

Alors ?

Alors le mieux est, je crois, de suivre le convoi de son temps en sonnant sa sonnette, le moins mélancoliquement possible et son vieux bouquet à la boutonnière.

Émile Bergerat.