Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/273

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— Ohé ! papa Glaize, c’est moi !

Le râteau s’arrêta :

— Est-ce vous, Émile ?

— Oui, je viens déjeuner. Ouvrez.

— Je n’ai pas la clef. C’est Léon qui l’a gardée dans sa poche, et il dort encore.

— Ne le dérangez pas.

Et j’entrai par-dessus la muraille.

— Comment va la maman ?

— Elle vient de vous écrire. Votre chambre est faite.