Page:Berlioz - À travers chants, 1862.djvu/330

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l’avantage, plus grand qu’on ne pense, d’avoir des élèves pour le prôner. Il écrit tranquillement, à son heure, de belles œuvres, riches d’idées, d’un coloris suave en général, quelquefois aussi très-vif, qui se répandent peu à peu partout où l’art du piano est cultivé d’une façon sérieuse ; sa réputation grandit, il vit tranquille, et les ridicules du monde musical le font à peine sourire. Ô trop heureux homme !