Page:Berlioz - La Damnation de Faust, Richault.djvu/35

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Et, dès qu’une nous pique,
Écrasons-la soudain !

vhœurs.

Ah ! ah ! Bravo !
Bravissimo !
Écrasons-la soudain !

faust.

Assez ! fuyons ces lieux, où la parole est vile,
La joie ignoble et le geste brutal !
N’as-tu d’autres plaisirs, un séjour plus tranquille
A me donner, toi, mon guide infernal ?

méphistophélès.

Ah ! ceci te déplaît ? suis-moi !

(Ils partent à travers les airs sur le manteau de Faust.)