Page:Berlioz - La Damnation de Faust, Richault.djvu/44

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Quel air pur je respire !
Seigneur ! Seigneur !
Après ce long martyre,
Que de bonheur !

(Faust, marchant lentement, examine avec une curiosité passionnée l'intérieur de la chambre de Marguerite.)