Page:Berlioz - La Damnation de Faust, Richault.djvu/53

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faust

Marguerite, ô tendresse !
Cède à l’ardente ivresse
Qui vers toi m’a conduit.

marguerite

Je ne sais quelle ivresse
Brûlante enchanteresse
Dans ses bras me conduit.

marguerite

Quelle langueur s’empare de mon être !

faust

Au vrai bonheur dans mes bras tu vas naître,
Viens…

marguerite

Dans mes yeux des pleurs…
Tout s’efface…Je meurs…