Page:Berlioz - Les Grotesques de la musique, 1859.djvu/21

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par-là des grotesques étrangers à l’art musical. Selon la disposition d’esprit des lecteurs, il peut leur sembler ou risible ou déplorable. Tâchez de trouver quelque plaisir à le lire ; quant à moi, je me suis amusé en l’écrivant, comme eût fait sans doute l’enfant du condamné en assistant à l’exécution de son père.

Adieu, mesdames et messieurs ; je baise les belles mains, je serre cordialement les autres, et je vous prie de croire toujours à la sincère et vive affection de votre tout dévoué camarade,

hector Berlioz.
Paris, 21 janvier 1859.