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À MADAME
LA DUCHESSE

Si l’on étoit obligé de proportionner ſes Ouvrages au merite de ceux à qui on les dédie, j’aurois lieu de craindre vôtre colere, en mettant icy le nom de Votre Alteſſe Sereniſſime ; Mais, MADAME, il faudroit ſe priver de la gloire de vous rendre ſes hommages, pour peu qu’on apportaſt de