peine à faire votre bonheur ! C’est une tâche, vous savez !… Allons, habillez-vous !
Et vous n’avez pas de remords ? Vous ne pensez pas une minute aux responsabilités ?
Quelles, responsabilités ? Je vous marie à une petite fille délicieuse…
Elle est trop délicieuse pour moi. Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ? Voyons, baronne, vous êtes une amie de ma famille, vous m’avez connu très jeune.
Mon cher enfant, il faut que je vous parle sérieusement et profondément. Vous n’avez pas de parents pour vous assister ; considérez-moi comme une grande sœur : je veux que vous soyez heureux, vous comprenez bien… hein ?
Je ne serai pas heureux.
Pourquoi dites-vous ça ? Dites-moi ce qui vous fait peur ?
Tout. D’abord, quoi qu’en dise le docteur, je ne suis pas en état de supporter toutes les fatigues du mariage.