Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/112

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Mademoiſelle de Roye, avoit éloigné les partis & cette infidelité luy faiſoit quelque tort ; Mademoiſelle de Roye ſentoit vivement cet affront, & ne ſe conſoloit pas de n’avoir point aimé d’Amboiſe, qui avoit une ſi veritable paſſion pour elle, & dont les grandes qualitez & la conſtance devoient l’avoir arrachée à l’inclination qu’elle avoit pour Sanſac.

Le Comte de Sancerre