Page:Bernard - Le Comte d Amboise.djvu/12

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’il apprehendaſt de luy donner le moindre ſentiment de jaloufie, ſoit qu’il apprehendaſt de ne luy en donner aucun, il ne pouvoit s’en conſoler, le chagrin, la joye, ou l’indifference de cette belle perſonne devenoient également cruels pour luy.

Il fut ſur le point de courir apres elle, & de ne le point quitter qu’il ne fût pleinement juſtifié ; mais le pretexte qu’elle avoit pris pour retourner, luy